À PROPOS DE NOUS
Le Prison Transparency Project est une étude collaborative et comparative de sept ans sur la transparence des prisons dans sept sites de recherche au Canada, en Argentine et en Espagne. Ce projet étudie à la fois les mécanismes formels et les pratiques informelles qui favorisent la circulation de l'information à l'intérieur et à l'extérieur des prisons, à la fois à des fins de responsabilisation et également pour défendre les droits et libertés des personnes incarcérées.
OBJECTIFS
DIRECTION
PARTENARIAT
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Centrer et amplifier les voix des personnes ayant une expérience vécue de l'incarcération, comme étant les personnes les plus directement touchées par les systèmes de transparence pénitentiaire.
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Rassembler différents acteurs concernés par la transparence dans les institutions d'incarcération (ex. centres de détention provinciaux, pénitenciers fédéraux, centres de détention de migrants) ;
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Comparer des enjeux d'accès à l'information entre différents pays (Argentine, Canada et Espagne) et des cultures nationales spécifiques à certaines régions (Québec, Catalogne).
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Document des stratégies pour gérer les différentes cultures juridictionnelles et internationales ;
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Créer des plateformes soutenir la création de réseaux transnationaux entre les défenseurs de la base, les militants, les personnes ayant une expérience vécue, leurs partisans (famille et amis) et les organismes de surveillance des prisons ;
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Offrir de la formation et du mentorat aux personnes ayant vécu l'incarcération et aux étudiants universitaires, dans les domaines de la recherche et de l'écriture académiques et populaires ;
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Partager l'information nous nous sommes rassemblés par de multiples moyens, notamment le podcasting, les ateliers, les publications et d'autres activités communautaires et de plaidoyer.
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Ce projet de recherche à grande échelle est codirigé par Dawn Moore, professeure de droit à l'Université Carleton, Máximo Sozzo, professeur à l'Université du Litoral en Argentine, et José Brandariz, professeur à l'Université de Coruña en Espagne, aux côtés d'un collectif d'experts universitaires. . Le travail du PTP se déroule sur une période de sept ans, de 2023 à 2030, et sera façonné et informé par un vaste réseau de personnes ayant une expérience vécue, de partenaires et de chercheurs. L'équipe de recherche comprend des personnes ayant vécu des expériences d'incarcération, ainsi que des chercheurs d'Argentine, d'Espagne et du Canada.
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Les partenaires sont des organisations et des individus qui travaillent avec des personnes incarcérées, qui ont pour mandat d'offrir des services directs ou un mandat de défense des intérêts et qui sont soucieux de transparence. Le PTP rassemble des universitaires, des personnes ayant une expérience vécue de l'incarcération, des amis et des familles de personnes incarcérées, des ONG, des agences de surveillance, des journalistes, des organisations de base, des professionnels du droit, etc., dans le cadre de partenariats formels et informels. Ce solide réseau éclaire la recherche sur la transparence des prisons sous de nombreux angles et perspectives, offrant l’étude la plus complète possible.